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Lisa Dumaine

AUTRICE DE L’OMBRE ET DE LA LUMIÈRE,
DES MOTS POUR DIRE CE QUE
LE COEUR NE PEUT TAIRE

Cachet de cire avec le logo de l'écrivain

ENTRE POÉSIE, ÉMOTION ET INTROSPECTION, J’ÉCRIS POUR EXPLORER CE QUE LES SILENCES NE DISENT PAS. CE SITE EST MON ESPACE D’EXPRESSION : SIMPLE, SINCÈRE, VIVANT

GALERIE

Photo noir et blanc Lisa livre sur la tête mains qui forment un cadre
Citation Guy de Maupassant sur l'écriture
Photo noir et blanc Lisa avec un livre sur la tête et qui fait chut
Lisa qui écrit en pleine nature
Citations Albert Camus et Luigi Pirandello sur la résilience et les relations
Photo noir et blanc Lisa qui porte une livre sur la tête et qui le tient
Lisa qui écrit et qui porte un pull rayé rouge et blanc
Citation Victor Hugo Deuil
photo noir et blanc Lisa qui porte un livre sur la tête et mains sous le menton
Lisa écrit et porte un pull rouge
Citation Stephen King sur les coeurs
Photo Lisa noir et blanc livre sur la tête mains sur les joues

REVUES

Pour que l’amour nous répare

J’avais adoré le premier livre de Coralie, mais celui-ci m’a encore plus touchée.

Les deux personnages principaux, Gabrielle et Lucas, sont très attachants. On découvre au fil des pages leur relation, leur lien si particulier…

Gabrielle m’a véritablement bouleversée. C’est le genre de femme qui, semble-t-il, a tout pour être heureuse. Mais que veut dire « avoir tout pour être heureuse » ?

Gabrielle est lumineuse, solaire, toujours le sourire aux lèvres. Elle est talentueuse, littéraire, créative et, plus que tout, elle aime. Elle aime les autres plus qu’on ne l’aime, elle.

Tout comme Lucas, sapeur-pompier, qui a besoin d’aider les autres, de se sentir utile, d’être nécessaire. Car lui aussi aime les autres plus qu’il ne s’aime lui-même…

À la fin, j’ai versé ma petite larme.

Ce roman parle d’amour, de toutes les formes d’amour qui existent, et du fait que l’amour peut nous réparer. L’amour d’un homme, d’une femme, d’un enfant, d’un parent, d’une amie…

Il y a une petite touche de surnaturel, de fantastique, mais très bien amenée… presque réaliste. Pas de fausses notes. C’est très touchant, dramatique, romantique, mais profondément humain. Certains passages m’ont vraiment beaucoup émue.

L’amour est bien plus fort que la mort. L’amour est plus fort que tout.

Merci beaucoup pour ce deuxième roman, qui est tout simplement sublime. Je suis très heureuse d’avoir découvert Coralie l’année dernière, à la sortie de son premier roman, et de pouvoir continuer à lire ses mots, découvrir son univers et être touchée par les histoires qu’elle choisit de raconter.

« C’est là que je comprends : l’amour ne s’arrête pas vraiment. Il ne meurt jamais. Il change, il se transforme, il répare. Toujours. Il nous répare. »

« Parfois, pour être “plus”, il faut apprendre à avoir “moins”. »

« Maintenant… Je ne peux pas dire que je suis guéri, que la souffrance est définitivement partie et que j’ai réglé tous mes soucis. Non, la souffrance ne disparaît jamais quand tu perds quelqu’un que tu aimes. On l’apprivoise, on apprend à cohabiter avec, elle se fait plus discrète, elle devient à peu près supportable, jusqu’au jour qui fera plus mal que le précédent. Mais je vais mieux, c’est certain. »

« Tu vois la beauté dans les choses insignifiantes et tu apprends à danser, pieds nus, sous la pluie… Et quand la nuit tombe, quand le soleil s’efface à l’horizon, tu n’as plus peur. Parce que tu sais que c’est à cet instant précis que les étoiles apparaissent. C’est là, sur ce chemin, que je me trouve en ce moment. »

« Toutes les histoires ont leur histoire. »

« Que la gentillesse, c’est un bateau sans vent qui dérive mollement. Que l’amour, le vrai, celui dont j’ai rêvé, celui qui dépasse trois ans sans s’essouffler, c’est un putain d’ouragan. Qui arrache tout, bouleverse, blesse parfois, mais, au moins, fait sentir que l’on est vivant. »

« Apprendre à vous pardonner, c’est le premier pas dans votre quête du bonheur. Parce que si l’on n’avance pas, on stagne. »

« Il veut lui dire que le manque, il l’a apprivoisé depuis longtemps, et que ce n’est pas un cadeau. Toute sa vie, il avait vu des gens s’éloigner, des présences devenir des souvenirs. Toute sa vie, les gens sont partis. La vie a distribué beaucoup de citrons à Lucas. De gros citrons, bien acides. Mais elle lui a aussi donné un don presque magique, celui de transformer tous ces citrons en citronnade. »

« (…) dans la vie, les gens se divisent en deux catégories. D’un côté, ceux qui vivent heureux pour toujours, étrangers aux tragédies. De l’autre, ceux qui doivent chaque jour monter sur le ring, encaisser les coups du sort et se débattre pour attraper quelques miettes de bonheur. »

« Laisse-toi du temps. Il ne guérit pas tout, mais il te permettra de respirer sans souffrir à chaque souffle. »

« Et je ne suis pas d’accord avec la fin. Mourir, ce n’est pas la solution quand la vie devient insupportable.

– Quelle serait la solution, alors ?

– Trouver la personne qui rendrait la vie à peu près supportable. »

Couverture du livre Pour que l'amour nous répare de Coralie Janne
Coralie Janne

La très catastrophique visite du zoo

En quelques pages seulement, Joël Dicker réussit à nous faire rire, réfléchir, enquêter et même aimer.
Ce court roman, ludique et bourré de jeux de mots, cache derrière son humour une vraie profondeur. On y parle de liberté, de démocratie, de différences, et on s’interroge sur le monde et le rôle de chacun — le tout à travers les yeux de Joséphine, petite fille dite « spéciale », mais pourtant si drôle et attachante !

C’est une fable drôle et décalée, qui fait mouche. On y retrouve la patte de Dicker, mais avec un ton nouveau, parfois enfantin, et pourtant terriblement adulte.

Un petit bijou à lire en une après-midi. À ceux qui aiment les mots, l’intelligence légère et les clins d’œil malicieux à notre monde… ce livre est pour vous.

« Il paraît que l’enfer est pavé de bonnes intentions : ça veut dire qu’on croit faire quelque chose pour aider mais en réalité ça n’aide pas du tout. Il vaut mieux que chacun se mêle de ses affaires. »

« Au fond, les gens sont comme les étoiles : c’est en les regardant attentivement qu’on se rend compte à quel point ils brillent. »

« On vit dans un monde où les gens ont oublié de se tenir correctement. »

« Ils ne se rendent pas compte de la chance que nous avons de pouvoir tous être différents, ensemble. Car c’est la beauté de la démocratie. Et c’est même la définition de la liberté : pouvoir être soi-même parmi les autres. »

« Le titre du spectacle était Différents, ensemble. »

« - Les grands timides sont souvent ceux qui le cachent le mieux, a dit la dame. »

« - Quand un homme écrit une lettre à une femme, en général c’est une lettre d’amour. »

« Ça s’appelle faire profil bas. »

« Faire des amandes honorables. »

Couverture du livre La très catastrophique visite du zoo de Joël Dicker
Joël Dicker

Tata

Je me suis profondément reconnue en Colette et en Agnès : deux femmes mystérieuses, tendres et lumineuses, portées par l’amour sous toutes ses formes.
Mais ce livre ne raconte pas seulement leurs histoires : d’autres vies se mêlent et s’entremêlent, formant un tissu délicat d’émotions, de secrets et de rencontres inattendues.

Entre deuils, blessures invisibles, joies discrètes et espoirs furtifs, une lumière douce traverse chaque page, offrant chaleur et réconfort.

Il nous rappelle que la famille ne se limite pas à ceux qui nous mettent au monde, mais à ceux qui nous aiment, nous soutiennent et restent à nos côtés, même dans les moments les plus difficiles.

Et cette phrase, qui me touche profondément : l’amour est plus fort que tout.

“Je suis tombée amoureuse me fois. Une fois, mais pour toujours.”

“Le bonheur se situe à différents endroits et niveaux dans une vie.”

« Je ne t’ai pas beaucoup vue, pas bien connue, mais ce n’est pas la peine de beaucoup voir les gens pour savoir qu’on les aime et qu’ils sont importants. Ce qui compte, c’est leur présence quand ils sont là. Pas le nombre de fois où on les voit.”

“Il ne m’a jamais dit je t’aime, ni parlé, ni embrassée. Je ne lui ai jamais dit je t’aime, ni parlé, ni embrassé. Les gens qui ne se parlent pas, ça existe partout. Et je crois que ça existe beaucoup”

“Elle m’avait répondu qu’elle n’avait jamais été mariée. Même que je lui avais demandé pour-quoi. Elle m’avait fait une drôle de réponse, genre pas besoin d’être mariée pour aimer...”

“Il n’y a rien de plus terrible que de perdre quelqu’un sans qu’il meure, juste parce qu’il est absent de lui-même.”

Il faut du temps à certains mots pour atteindre et pénétrer notre cerveau. Parfois quelques secondes, parfois quelques minutes, parfois des années. »

“Mais on ne refait pas ceux qu’on aime. Ou alors c’est qu’on ne les aime pas vraiment.”

“La vie aussi. On fait de notre vie ce qu’on a envie d’en faire, et on ignore qu’on la possède à l’infini. Jusqu’à la mort. Sauf si on est compositeur. Peintre. Sculpteur. Cinéaste. Écrivain. Chercheur d’or. Charlie Chaplin est là pour toujours”

Couverture du livre Tata de Valérie Perrin
Valérie Perrin

Son odeur après la pluie

Je viens de terminer l’histoire d’Ubac et de son maître.
C’est une histoire d’amour. L’amour d’un chien. L’amour d’un homme. L’amour de deux êtres liés d’une manière profonde et unique.

C’est poétique, marqué par la nature, par l’amour et par la vie. Comme j’ai aimé ce livre… une merveille absolue. Je n’ai pu m’empêcher de verser une larme (ou peut-être plusieurs) à la fin. Quelle belle écriture, quelle belle histoire…

Tu resteras pour toujours, Ubac.

J’ai pensé à ma Lola, qui m’a quittée il y a bien longtemps, et à ma Nikita, celle qui partage ma vie et m’aime d’un amour incommensurable… Car si elle n’était pas là, je ne serais probablement plus là aujourd’hui.

Et à ceux qui n’aiment pas les chiens… hé bien, je n’ai rien à vous dire! ;)

« Un chien, de son passage, augmente votre existence et, non pour l’en remercier mais pour s’élever à lui, un geste suffit, deux seringues, une de cran, une de dignité, et nous en sommes incapables, jouant de cette malhonnête confusion que piquer serait voler. En vrai, c’est rehausser. »

« Je lui demandais comment il pourrait survivre chez un couple de retraités, plaisanter est une digue comme une autre contre le sort implacable. »

« La seule scission du temps dont j’étais déjà conscient est qu’il y avait eu avant Ubac et désormais Ubac ; l’amour, ça coupe la vie en deux. »

« Comme la vie serait belle et triste si l’on pouvait ainsi remonter son fil. »

« L’odeur, c’est le lien intime, fermé aux autres. »

Couverture du livre Son odeur après la pluie de Cédric Sapin-Defour
Cédric Sapin-Defour

Plus grand que le ciel

J’ai littéralement dévoré ce roman.
Elsa et Vincent m’ont profondément touchée. Je me suis reconnue en eux, dans leurs doutes, leurs silences, leurs blessures invisibles. Chaque émotion, chaque hésitation, chaque moment de fragilité m’a semblé si vrai, si proche.

C’est un livre sur l’amour, la peur, la résilience et la force que l’on ne soupçonne pas toujours en soi. Il parle de ces mots que l’on n’ose pas dire… et de ceux que l’on finit par écrire, comme une manière de se libérer et de se révéler.

Le roman explore avec justesse la complexité des relations humaines, les non-dits, les blessures passées, mais aussi les moments de tendresse, de complicité et de découverte. On suit les personnages dans leur intimité, on ressent leurs émotions et on vit avec eux leurs petites victoires et leurs grandes peines.

Un roman bouleversant, intime et profondément humain, qui nous touche au cœur et nous laisse longtemps réfléchir sur ce que signifie aimer et se laisser aimer.

« On devrait nous enseigner qu’on va mourir comme on nous enseigne le théorème de Pythagore. »

« On peut à ce point distordre la réalité, se raconter une autre histoire plutôt que se remettre en question. On préfère désigner un innocent coupable pourvu qu’on ne le soit pas. »

« Il n’a pas refait sa vie après ma mère. (…)Je crois surtout qu’il n’a jamais réussi à remettre les morceaux de son cœur dans le bon sens. »

« Depuis, je me demande. Pourquoi ne voit-on vraiment les gens que quand ils ne sont plus là ? »

« Mais il n’y a que dans mes romans que je sais construire une histoire sans l’abîmer à la fin. »

« J’ai beau le vouloir, l’espérer, ma batterie est à plat. C’est plus fort que moi, j’ai le cœur en hiver »

« Je me suis senti seul, à un point qui fout le vertige. Je pouvais presque m’observer à l’œil nu, moi, plein de gens autour, et entre les deux un fossé immense. »

« Les objets ont une mémoire, c’est pour ça que j’y tiens. »

« Je ne veux plus faire semblant d’aller bien. »

« Je suis prête à croire à tout, plutôt qu’à son absence. »

« Rien ne console l’absence de ceux qu’on aime. »

Couverture du livre Plus grand que le ciel de Virginie Grimaldi
Virginie Grimaldi

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yann61

La vie cette loterie

Bien au-delà de nos doutes, de nos incertitudes,  quand s'achèvent ainsi les sombres, de nos nuits, combien de fois, désorientés dans notre solitude, nous misons sur le gros lot, aux aléas de notre vie. 

Au son des mélodies, de nos mensonges en cascade, face aux oiseaux de malheur, devenus seuls maîtres, sous couvert d'une gloire feinte, suivons la parade, d'un bonheur en recherche que l'on voudrait connaître. 

Au fond de ce corridor, l'issue sera devenue fatale, gît l'espoir oublié, frappé encore du sort mauvais, alors nous retrouverons, nos vies encore plus banales, dans l'amertume de nos rêves au-delà de la réalité.

2
A_lyly76

Sans un au revoir

Tu es entré dans ma vie. 

Tu m’as salie, puis tu es parti. 

Tu m’as touché, sans regret. 

C’est terminé, mais ça ne s’est jamais vraiment arrêté. 

Je sens tes mains sales sur mon corps, encore et encore. 

C’est la même histoire, sans un au revoir.

3
Shérazade Robert

Nouveaux départ

Nouvelle maison, mais toujours la même histoire 

Nouvelle décos, nouveaux échos mais toujours le même chemin 

Nouveaux béguins, nouveaux chagrins mais toujours les mêmes actions 

Nouvelles passions, nouvelles questions, mais toujours les mêmes raisons. 

4
Plume d’or

Toi et moi encore

Les pages froissées dorment derrière nous,

elles ont connu nos failles, nos silences,

mais voici l’aube qui s’avance,

et sur la marge blanche, je t’écris à nouveau.

Ce n’est pas un autre livre, non,

c’est la suite — tremblante et fidèle,

où les regrets s’effacent comme du crayon

et où l’encre fraîche ose l’éternel.

Nous reprenons le fil,

sans ratures, sans remords,

avec ce souffle fragile

qui se change en accord.

Un nouveau chapitre, c’est toi et moi encore,

pareils, mais différents,

et l’histoire recommence,

non pas à zéro, mais au présent.

5
Léa Demange

La pièce de théâtre

Le rideau tombe.

Applaudissements éteints.

Le décor se métamorphose —

nouveau ciel, même scène.

Acte deux.

Les corps changent de costume,

les voix reprennent souffle,

et pourtant… le texte est le même.

La pièce continue,

mais l’éclairage bascule :

là où hier brûlait la colère,

s’avance aujourd’hui une tendresse neuve.

Un nouveau départ, oui,

mais sans effacer l’ancien pas.

Car la danse n’oublie pas ses traces,

elle invente la suite en mémoire des premières.

Et si nos gestes tremblent encore,

c’est qu’ils portent l’écho des anciennes répliques.

Mais dans ce frisson, il y a promesse :

celle de jouer plus juste, plus vrai.

Alors avançons, sans craindre le silence,

puisqu’il est l’intervalle avant la musique.

Un chapitre neuf s’ouvre devant nous,

et nous avons l’éternité pour l’écrire.

MERCI AUX 23 PARTICIPANTS, MêME SI VOUS N’êTES PAS DANS LE CLASSEMENT, J’AI ADORé LIRE VOS EXELLENTS TRAVEAUX SUR LE THEME :  un nouveau chapitre, un nouveau départ pour une même histoire

Lisa qui tient un ouvrage entre ses main
Lisa qui tient un ouvrage entre ses main
Lisa qui tient un ouvrage entre ses main

LISA, C'EST MOI !

Lisa est triste et secrète

Elle pleure seule dans le noir

Personne ne peut la voir

La pluie coule, ses yeux sont des fenêtres

Comme dans la chanson de Cat Stevens

Lisa est double, Lisa est trouble

Elle s’enfuie de ses rêves

Elle est forte mais frêle

Elle cache le bonheur dans un cri, s’oublie et se retrouve

Comme dans la chanson de Jeanne Mas

Lisa aime et n’aime pas

Dans ses yeux, tu y lisais ta vie autrefois

Tu existes un peu moins, semaine après mois

Sans ces yeux là , tu ne te vois pas

Comme dans la chanson de Goldman

Lisa rêve de partir, de vivre ailleurs

Tu peux imaginer le son de sa voix

Mais un jour c’est certain elle s’envolera

Elle regarde les oiseaux, s’accroche à leurs ailes

Comme dans la chanson de Francis Cabrel

Lisa veut la paix, faire ce qu’il lui plaît

Elle promet que tout ira bien demain

Il lui disait : « ne me promet pas, ne me promet rien »

Elle a un secret, elle croit que l’amour ne meurt jamais

Comme dans la chanson de Daniel Lavoie

Lisa s’égare, se fait du mal

Vole trop près du soleil, comme Icare

Lisa se fait du mal, elle ne s’aime pas

On l’observe mais on ne la voit pas

Comme dans la chanson de Dinaa

Lisa est triste, secrète, double et trouble.

Lisa aime et n’aime pas, rêve de partir de vivre ailleurs

Lisa veut la paix, faire ce qui lui plaît mais s’égare et se fait du mal

Lisa c’est moi, je suis toutes ces Lisa.